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jeudi 1 janvier 2009

Bonne année 2009, mes très chers...

...mes très chers lecteurs de ce blog, trolls exclus!



L'an dernier, j'espérais pour 2008 la démonstration, enfin, de la conjecture de Riemann...Ce sera pour une autre année. Mais on a trouvé, à Nantes!, un fragment d'une partition de Mozart, peu intéressante il est vrai.

Pour le reste, on a eu la joie de faire la connaissance de M Kerviel, puis de M Madof. On a appris l'existence d'une banque appelée Fortis, une autre Natixis. On connaissait déjà les Caisses d'Epargne, que l'on croyait sérieuses : ils ont dû recruter des jeunes et virer les vieux.


Rien de très nouveau dans tout ça, sinon les ordres de grandeur.
Je vous laisse méditer cette phrase, entendue hier vers 20h, et qui me laisse dans une profonde perplexité : "Je veux que les mêmes causes ne produisent plus les mêmes effets".



C'est ce que j'ai cru comprendre. Si c'est bien vrai, c'est alors l'ordre de grandeur de la connerie qui a changé.

Le même orateur semblait aussi ne pas connaître les nuances de la place de l'adjectif : "un "monde nouveau" lui est synonyme de "un nouveau monde", comme un homme petit est un petit homme.



Tout ça commence bien! On n'a pas fini de s'amuser! Vous pouvez commencer à vous entraîner au lancé de chaussures, taille 42 fillette.

Et puis, depuis hier soir, les gendarmes dépendent de l'Intérieur! Quelle chance pour eux! Et pour nous donc!

Amusez-vous bien! Soyez heureux! Répandez le bien autour de vous! Enrichissez-vous en travaillant! Et travaillez plus : c'est le grand secret!

Ah oui : on a fait aussi connaissance avec Jeff Koons (je vous en reparlerai peut-être) à Versailles. Vous ne m'auriez pas cru : je vous ai mis quelques photos! Enjoy!

vendredi 2 novembre 2007

2 novembre Requiem

Pour moi, ce "jour des morts" est une autre Toussaint, loin de l'image cimetierre-chrysanthèmes qu'on veut nous faire endosser.
C'est l'occasion, cependant, d'écouter quelques réquiems (un réquiem, des réquiems? Que dit l'Académie?)

Le plus beau, le plus priant, est celui de Maurice Duruflé (1902-1986), écrit en 1947. Basé sur des thèmes grégoriens, s'inspirant de la musique de la Renaissance, il est "moderne" dans ses accords subtilement douloureux, mais transfigure l'Espérance.

Le plus "païen", selon le jugement sévère de l'ineffable L. Rebatet, est celui de Gabriel Fauré, de 1887. Il a surtout beaucoup souffert des arrangements pour grand orchestre et grandes orgues, à la mode dans les églises élégantes du VII et du XVIème arrondissements de Paris, pour des enterrements mondains. C'est en réalité une oeuvre intimiste et délicate, qui va très bien avec un petit orchestre de chambre, une voix d'enfant pour le sublime Pie Jesu.

Le plus grandiose, à écouter à donf, est celui de Giuseppe Verdi, écrit pour son ami Manzoni (donné pour la 1ère fois en 1874). Après avoir écouté ce Requiem, Wagner se contente de dire… « Il vaut mieux ne rien dire ». Jalousie entre confrères! Le Dies Irae était autrefois le "jingle" d'une émission de radio : quand j'étais enfant, cette fureur orchestrale me saisissait. Longtemps, j'en ai cherché la partition, pour comprendre "comment c'était fait". C'est très bien fait, et ça produit l'effet recherché, ce qui n'est pas mal. Mais c'est à écouter comme un opéra, par comme une Messe.

Le plus connu est celui de Mozart. Il est beau, mais il est usé. On l'a trop entendu, c'est dommage. Qui me redonnera le plaisir de le ré-écouter pour la première fois?

Le plus poignant est le Requiem allemand de Johannès Brahms. Il est peu connu, rarement diffusé à la radio, et pourtant, il est vraiment beau. A la protestante, des psaumes remplacent le texte catholique traditionnel.

Le Requiem de Dvorak est celui qui m'a laissé le moins de souvenir. Il se laisse pourtant écouter.

Le dernier point sur les vaccins

Hier 14 juin 2021, le Président Macron tenait une conférence de presse à l'issue du conseil de l'OTAN, et de sa conversation avec...